Une solution informatique ou bureautique doit permettre à l’utilisateur d’atteindre plus facilement son but. C’est-à-dire qu’elle cherche à être fiable mais aussi à s’adapter au contexte d’usage.
Il faut prendre en compte :
- l’utilisateur avec ses capacités perceptives, motrices et cognitives (Card et al., 1983), ses compétences métier et informatiques, sa culture et sa langue naturelle, ses difficultés d’apprentissage et d’appropriation du nouvel outil
- la plate-forme, structure matérielle et logicielle, avec ses capacités de calculs, sa spécificité dans les interactions homme-machine, son ergonomie
- l’environnement, le bruit, les tâches périphériques à l’interaction
- … et surtout la qualité des données !
La qualité des données s’évalue en fonction :
- du respect des règles syntaxiques et sémantiques
- de la quantité de doublons et de valeurs aberrantes
- de la robuste aux erreurs
- du niveau de complétude (quantité de données pertinentes enregistrées)
- de la fraicheur des informations
Quelques causes de non qualité et d’incohérences de données
- les erreurs humaines lors des saisies
- l’acquisition par numérisation de documents pour pouvoir ensuite appliqué des processus automatiques. Le contexte de production des données initiales est très spécifique; ce qui peut se traduire par des aberrations lors de la capture optique
- les extractions mutilant les données lors de leur transfert en raison de formats différents
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à regarder l’excellente vidéo ci-dessous de Madame Samira Si-Saïd Cherfi, Maître de conférences – HDR CEDRIC – CNAM (Producteur Canal-U:
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)